Maintenant vous pouvez imputer cet irrépressible et immature besoin de likes, de partage, et de commentaires à une partie de votre cerveau appelée le « nucleus accumbens », nouvelle excuse pour justifier ce comportement dont vous avez un peu honte.
03 Septembre 2013 | Romain Proton | 0 commentaire
Des chercheurs allemands ont découvert que le besoin d'augmenter sa popularité sur Facebook et la manière intensive d'utiliser le réseau social sont liés à un système de récompense établie dans une partie du cerveau, la même qui demande inévitablement des choses désirables comme l'alcool, le sexe, ou les gains financiers. Ces résultats ont été démontrés après deux jours de tests dans l'Université de Berlin. Après avoir interrogé 31 sujets et analysé leurs habitudes de consommation de Facebook, les chercheurs ont étudié sur scanner l'évolution de l'activité cérébrale lors d'un jeu de cartes pour identifier les stimulus liés aux victoires et aux gains financiers. Ils ont ensuite regardé les stimulus enclenchés lors de la publication de contenus sur les profils des sujets.
Les résultats ne devraient pas vous étonner, nous êtres égocentriques : leur cerveau répondait positivement lorsque les vidéos en question étaient saluées par leurs amis, et inversement lorsque les vidéos des autres avaient plus de succès. Plus le participant est régulier dans son utilisation de Facebook, plus l'impact des compliments en commentaires sur le cerveau est important.
« L'être humain est par nature intéressé par sa réputation », confirme le neurologue Dar Meshi. « Aujourd'hui, la seule façon de contrôler et de gérer sa réputation s'effectue avec les réseaux sociaux comme Facebook ».
Bien que nous n'ayons pas réellement besoin d'un neurologue pour s'en douter, Dar Mershi rajoute aussi qu'une utilisation constante de Facebook à aussi des effets négatifs, dont la chute des résultats scolaires, une baisse de productivité et même la dépression. Voilà pourquoi vous l'avez un peu mal pris lorsque personne n'a réagi à votre post l'autre jour.
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