Marine Lepeltier est étudiante en 4ème année à l’ESME Sudria. Dans le cadre de la semaine dédiée aux femmes ingénieures, Marine revient sur son parcours et ses ambitions de future femme ingénieure.
28 Octobre 2014 | Romain Proton | 0 commentaire
En entrant en seconde, j’affectionnais autant les matières littéraires que scientifiques. Le choix de la filière que j’emprunterais l’année suivante n’était donc pas évident. Les nombreux débouchés qu’offre le bas S m’ont finalement convaincus. Quant au choix de la spécialité, le module physique-chimie semblait être celui qui comblerait le mieux ma nature curieuse. J’ai passé les deux années suivantes à parcourir les salons pour avoir une idée plus précise de ce en quoi consistait la vie post-bac. De nombreuses personnes autour de moi envisageaient des études de médecine mais il est pour moi indispensable d’avoir une réelle vocation pour se lancer dans une telle aventure et ce n’était pas mon cas.
Par ailleurs, je cherchais un milieu où il y aurait un réel soutient et encadrement des professeurs, ainsi qu’une vie au sein de l’école. Les témoignages que j’avais recueilli d’anciens de L’ESME Sudria correspondait parfaitement à l’idée que je me faisais de la vie étudiante. Aujourd’hui, je suis en quatrième année, mon prochain choix sera celui de ma majeur. Mes résultats et mes goûts semblent me mener vers le pôle Energie. A suivre...
Avant mon semestre international de B3, je n’avais pas eu de réelle opportunité de voyager. Je connaissais quelque pays d’Europe, mais rien de bien dépaysant. En prenant connaissances des destinations à mon arrivée à l’ESME Sudria, mon choix s’est vite arrêté sur la Chine car il s’agissait du pays offrant le plus gros dépaysement. Cette expérience m’a profondément marquée et a accrue mon goût pour les voyages. Donc, sans avoir un plan de carrière précis en tête, j’aimerais boucler mes études par un VIE qui amorcerait ma carrière à l’international, profitant de l’omniprésence des grands groupes dans le monde pour voyager, et plus tard revenir en France à un poste plus stable.
De nature curieuse, j’aime m’essayer à de nouvelles activités, tant sur le plan sportif que culturel ou associatif. Bien qu’investie dans mes études, il n’était pas envisageable que je délaisse mes activités extrascolaires. Bien sûr, le rythme de travail a changé entre le lycée et le supérieur, mais les jeudis après-midi libres, consacrés aux associations et activités personnelles m’ont permis de m’adapter sans trop de difficultés. J’ai pu non seulement poursuivre mes anciennes activités (escalade, théâtre) mais également en découvrir de nouvelles grâce aux nombreuses associations présentes dans l’Ecole. J’ai finalement rejoint la Junior Entreprise de l’ESME Sudria (Junior Sudria) au poste de secrétaire générale.
En plus des nombreuses rencontres que m’a permis de faire mon poste au sein de l’association, cela m’a donné un aperçu du monde du travail en termes de responsabilités, d’organisation et de gestion de projets. C’est pourquoi je considère que ces activités sont une partie non-négligeable de ma formation.
Avocate
de nouvelles méthodes de récupération d’énergie. Les esprits sont trop orientés vers la production et en oublient de récupérer celle que nous créons chaque jour, sans même nous en rendre compte.
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